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Les appareils d’électrothérapie

Pour faire un rapide tour d’horizon, il faut savoir que l’électrothérapie se divise en deux catégories : L’utilisation des fréquences Et l’utilisation de l’électricité.

Chacune de ces catégories utilise deux moyens différents et complémentaires pour induire leur effet : Les ondes électromagnétiques (dont la lumière) et le courant électrique.

Il existe plusieurs types d’appareils d’électrothérapie, dont les zappers Clark.

  1. Les appareils de type “Rife
  2. Les zappers de Bob Beck
  3. Les zappers de Hulda Clark.
  4. Le système MORA
  5. La radionique utilise une sorte de résonance des taux. Albert Abrams est souvent cité comme le précurseur.

Royal Raymond Rife

Les appareils Royal Raymond Rife utilisent des fréquences sinusoïdales et alternatives TRÈS précises, appelées MOR (Mortal Oscillatory Rates), pour détruire les parasites en utilisant un phénomène appelé “fréquence de résonance” pour détruire les parasites. Ils n’ont pas de contact direct avec la personne qui reçoit le traitement.

R. Rife a utilisé cette technologie vers 1934, principalement sur le cancer, avec un taux de réussite de 100%. Aujourd’hui, il existe de nombreux appareils vendus sous le nom de “Rife”. La plupart du temps, ils utilisent des fréquences plus basses et plus faciles à produire. plus faciles à produire, en utilisant des ondes carrées, et s’appuient sur les harmoniques pour atteindre les parasites.

Les appareils de l’école de Rife visent un “problème” à l’époque. Le zapper Clark n’est pas un appareil de Rife, même s’il utilise parfois certaines des fréquences de Rife, et les appareils de Rife ne sont pas le zapper Clark.

Bob Beck

En 1991, Bob Beck s’intéresse à un moyen simple de se débarrasser du virus VIH, découvert à l’Albert Einstein College of Medicine, New York, (1991) et faisant l’objet d’un brevet (Patent # 5,188,738).

Ces chercheurs ont constaté qu’un faible courant de 50 à 100uA suffit à réduire de 50% à 95% le taux de virulence du VIH de 50% à 95% (et d’autres virus en même temps).

Les chercheurs ont évoqué la possibilité de faire passer le sang dans une unité de type dialyse ou d’implanter des dispositifs électriques pour neutraliser le virus du VIH en le rendant inoffensif. pour neutraliser le virus VIH en “purifiant/électrifiant” le sang à l’extérieur du corps.

Par nature et par profession, Robert C. Beck a toujours été un innovateur et un inventeur. Cette recherche l’a à la fois intrigué et l’intriguait, le mettait au défi.

Il a trouvé un moyen très simple d’électrifier le flux sanguin sans porter atteinte à l’intégrité du corps. Le purificateur de sang de Bob Beck (ou zapper de Bob Beck) était né.

Par la suite, il a ajouté un générateur d’impulsions électromagnétiques pour purifier la lymphe et les ganglions lymphatiques, une autre source importante d’infection pour le sang. L’ingestion d’argent colloïdal en suspension dans l’eau a rapidement été ajoutée à sa “boîte à outils thérapeutiques”. Son inventivité l’a également conduit à un générateur d’ozone pour l’eau, fabriqué à partir d’appareils courants.

L’ensemble de ces éléments est aujourd’hui connu sous le nom de “protocole Beck” :

  • Électrification du sang
  • Champs magnétiques pulsés de Kilogauss
  • Argent ionique/colloïdal
  • Boire de l’eau fraîchement ozonisée

La plupart de ces appareils sont commercialisés (avec le Brain Tuner, un autre appareil inventé par B. Beck) par la société canadienne SOTA Instruments, et une autre société : SCADA (USA). Le dispositif d’électrification du sang a été prudemment désigné comme “stimulateur de croissance des plantes” et son schéma a été gracieusement placé dans le domaine public par son inventeur, Bob Beck.

La naissance du zapper Clark

À peu près à la même époque (1988), une chercheuse très active, le Dr Hulda Clark, découvre un dispositif utilisant les phénomènes de résonance et d’hétérodyne (elle était également radioamateur) pour détecter la présence d’une substance radioactive et d’autres substances nocives parasites et d’autres substances nocives : Le “Syncromètre”.

Le Syncromètre est un appareil très simple à construire, mais très délicat à utiliser. L’achat de cet appareil doit être envisagé avec prudence : Il nécessite un engagement sérieux de plusieurs heures par jour pendant 2 à 3 mois.

À l’aide de cet appareil, elle dresse une liste de fréquences, chacune affectant un parasite particulier. En suivant (et en dépassant) R. Rife sur l’utilisation du MOR, le Dr Clark élimine les parasites, un à la fois, avec des expositions de seulement 5V et 3 minutes, à la fréquence choisie.

Les résultats sont encourageants, mais l’application est longue et fastidieuse.

En 1994, son fils Geoffrey lui fabrique un petit appareil utilisant un oscillateur bon marché, pour venir à bout d’un ver intestinal, Fasciolopsis Buskii, avec une fréquence de 434 000Hz. Plusieurs autres parasites sont éradiqués en même temps !

Cette fois-ci, la fréquence n’était pas le facteur principal. C’est le courant continu d’une simple pile de 9V qui l’a été. Le zapper de Hulda Clark était né !

Comme Bob Beck, la Dr. Clark a mis sa découverte (zapper et Syncrometer) dans le domaine public, permettant à toute personne intéressée par cette technologie d’en construire une sans avoir à se déplacer de construire un zapper clark ou un syncromètre sans avoir à payer des droits légaux.

Les spécificités du zapper d’Hulda Clark

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Signal carré avec un décalage de 0,25V

Pour “mériter” le nom de “zapping Hulda Clark”, le zapper clark doit répondre à certains critères établis par la Dr. elle-même :

  1. Le zapper clark doit fonctionner en courant continu
  2. Le voltage ne doit pas s’approcher de zéro, restant supérieur à 0,25V pendant le traitement. C’est le fameux “décalage de 0,25V”
  3. La tension doit être suffisante (et sûre), c’est-à-dire comprise entre 5 et 10V environ.
  4. Le rôle de la fréquence n’est plus de cibler un parasite particulier, mais de produire des variations de courant, pouvant facilement passer à travers la barrière naturelle de la peau. Le zapper clark est efficace si la fréquence est comprise entre 10Hz et 500 000Hz. Un transfert d’énergie optimal et sûr se produit autour de 30 kHz, avec les électrodes utilisées.

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